Partager Posté(e) 31 mai La vraie vie hors les murs froids au crépi gratté blanc Blessé mon dos de pensionnaire d’une prison qui n’a de La Fayette que le nom Assise à même les dalles aux éclats de marbre pâles Rosés Noyés dans le ciment Vraie quand un micas doré devient ventre argenté d’un vairon du dimanche quand les herbes coupent ma peau malgré mes bottes vert d’eau et que ma ligne plonge brusquement et force mes réflexes Le lundi assise dans mon recoin avant l’étude où je n’étudie rien La pulpe de mes doigts parcourt avec mélancolie Le chemin carmin et fin de mes égratignures de joie 9 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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