Partager Posté(e) 22 mai - (…)Tu n’es pas un homme comme les autres. Giono. C’est le petit dernier qui a chié partout, Monseigneur le bon Dieu, Madame la Nature, Et qui maintenant chiale avec des cris de fou En pataugeant dedans, les pieds dans son ordure. La « bête » sacrifiée au démon de l’Argent, Sauvage disparaît, mais aux fins d’élevage Ou de jeu domestique, assume l’esclavage Au bon gré du niais qui s’en est fait l’agent. S’il est en gent humaine intéressantes têtes Jusque-là vaillamment porteuses de progrès, La grande masse étouffe, - agonisante fête, Son obscure défaite à jouir sans arrêt - Ce n’est pas peu dire : d’espèces trébuchantes Dont elle est de toutes la plus mortifiante ! Malgré tout sur l’Amour de la Terre misons ; Il y a du plaisir à s’échapper des cons ! 9 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Messages recommandés