Partager Posté(e) 7 novembre 2018 (modifié) les mots cueillis aux miels des ruches figés dans la cire illisibles au jardin des souvenirs une seule abeille est restée emprisonnée dans les toiles d'une araignée aux doigts d'argent et elle bourdonne encore de vieux airs de jazz jusqu'au dernier souffle ou c'est la brise qui caresse les ruches le temps qui fuit enfile des perles d'ambre et de cuivre à ton cou où saigne la dernière lueur du soir (J.E. Nov 2018) Modifié 7 novembre 2018 par joailes 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Messages recommandés