Partager Posté(e) 19 mars (modifié) O combien mes genoux ont saigné Sans que trace aucune ne perdure Delà les larmes inoubliées Arasant du temps les embrasures Tout secours dénié, malgré les pleurs Quand mes peurs grimées laçaient le deuil De l’innocence griffée au cœur Dans le jour nu où l’âme s’endeuille Dans la lumière à jamais versée En mes prunelles d’aube irisées Le temps celant ses secrets, enfin A parlé, élucidant la fin L’épée ailée encage mes rêves Les fils ténus embrasant le temps Où encore palpite mon sang Dessus l’entrelacement des grèves Modifié 19 mars par Sophie Dessin personnel 10 1 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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