Partager Posté(e) 13 mars Dans l'azur de tes grands yeux où tremble l'aurore Il est parfois des clartés douces et lascives Que seul troublent des oiseaux les ombres furtives Battant le ciel d'un froissement d'ailes sonore Dans ton jardin d'Eden que parfument les roses Tes rêves au doux soleil de mai s'éternisent Et ta nuque blanche qu'importune la brise Se laisse griser doucement jusqu'à l'hypnose Quand tu marches dans le silence vespéral Tes pas cadencés sur l'asphalte noir résonnent Comme au lointain l'écho d'un angélus qui sonne Et ta beauté a d'un paysage automnal La flamboyance mordorée de ses feuillages Et la tranquille harmonie des vieux paysages. 8 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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