Partager Posté(e) 6 mars 2023 Les murs se perdirent dans la nuit Les étoiles frôlèrent leurs âmes Là, se noyait en son ciel la femme Quand toujours pleurait le temps enfui… Les étoiles frôlèrent leurs âmes La lumière épuisait tous ses ors Dessus leurs prunelles ambre en flammes Où son aile s’ébattait encor Là, se noyait en son ciel la femme La nuit coulait le long de son cou Où les étoiles laçaient leurs pouls Sur sa peau aquarellée d’une lame Quand toujours pleurait le temps enfui La vague nue franchissait le temps Délaissant ses étoilés diamants Les murs se perdirent dans la nuit L’opale pleurait quelques étoiles Sur la rive où s’oubliaient les voiles L’onde encor délaçait le passé Quand dansait sans fin l’éternité Sur la rive où s’oubliaient les voiles La brise émue retissait la toile Avec les larmes du sablier Où s’ébattaient les cœurs oubliés L’onde encor délaçait le passé La nuit désincarnée renaissait Dans leurs pas à jamais échoués Les ors brodant l’immortalité Quand dansait sans fin l’éternité Le long de ses cils de sels perlés La musique déchirait les voiles L’opale pleurait quelques étoiles 13 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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