Connecté Partager Posté(e) 27 janvier J’ai revu le jardin où s’ouvrait une rose Quand l’essaim s’envolait des moments imparfaits, Qu’il n’y avait que toi et tes paupières closes, Puis les nuits de sommeil et tes cheveux défaits. C’était le temps d’amour et parfois d’autre chose. À l’aube de toujours le ciel était de lait. Les larmes de rosée et ton air plus morose Bientôt s’évaporaient sans laisser de regret. Et le jour devenait étranger à nous-mêmes Dans l’oubli du hasard d’être ainsi tous les deux, Réunis dans le temps de l’afflux des je-t’aime. Ici, je me souviens que tu cueillis la rose Comme on cueille l’instant par un réflexe heureux Alors qu’elle n’était pas tout à fait éclose. 15 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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