Partager Posté(e) 21 janvier (modifié) Voyez ce beau parterre et ses belles pensées, Et regardez le lac, miroir qui réfléchit L’image du printemps, les amours insensées, Les désirs exaltants et les refus fléchis! Le cortex se confond avec les primevères Pour mieux s’abandonner aux sentiments légers, Quand les chants des oiseaux à point nommé s’avèrent Les puissants séducteurs des cœurs assiégés. Le jeune roseau même en sa semblance humaine, Se laissant caresser par un tendre zéphyr, Déjà ne pense plus qu’à la chaleur prochaine Qui va plonger les corps dans une inconscience, Naturellement propre à fonder l’avenir, Sur un mode décrit fort bien par la science. Modifié 21 janvier par Jeep 12 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Messages recommandés