Partager Posté(e) 27 novembre 2022 Il est écrit au marbre des tempêtes Que nul n’est né qui ne sera mourant Ni libellule posée sur l’instant Ni vieux titans dont la meute barète Rien n’échappe à l’horloge sur nos têtes Asservies Qui veut suivre le courant Prenne le temps d’errer le cœur vacant Viendra le point où l’horizon s’arrête Ses pas ne franchiront jamais le bout D’orée où l’on se rêve enfin debout Face à l’éternité étincelante Et l’on marche d’une foi chancelante Au bras d’un hasard bientôt disparu Le long de l’avenue du temps perdu. 17 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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