Partager Posté(e) 29 septembre 2018 Un regard parfois au destin ouvre l'huis. Mes dix-sept printemps à tes printemps unis, D'un baiser de tes lèvres, je me suis éveillé ; A vingt ans je suis mort de tant t'avoir aimé. En franchissant ta porte, j'empruntai ce chemin Pavé de tendres roses, suivi de durs chagrins. quelques étés de joie, de soleil et de vie, Suivis de longs hivers, de tempêtes et de pluie. Après bien des années d'un relatif oubli, Le souvenir soudain ramène des parfums, Des sons et des images en un bouquet fleuri, Et mes pas à nouveau retrouvent ton chemin. Car l'amour que la vie un jour a établi, Par le temps illusoire ne peut être détruit. Si ses fleurs parfois en nous semblent fanées, Ses puissantes racines puisent à l'éternité. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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