Partager Posté(e) 9 juin 2020 (modifié) Cabine de plage quelque part en Cotentin Aux beaux jours nous irons retrouver les nuages Qui filent sur l'azur d'un éternel printemps Où la fraîche du soir respire à tous les âges Quand l'idéal été est bercé par le vent. Aux orgues de la vie qui se la jouent mineur Tempérant le clavier d'un soleil en bémol, Je mesure l'espace à l'écho des rumeurs De la mer sous la houle agitant l'onde folle. Parfois tout s'assombrit et alors le temps pète. Les algues des rochers blanchissent sous l'écume, Nous nous réfugions, trempés, le cœur en fête, Sur le haut de la grève. Une cabine en bois Déshabille la joie de nos corps qui présument Combien l'éclair d'amour s'émancipe des lois. Modifié 10 juin 2020 par Marc Hiver 11 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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