Partager Posté(e) 10 janvier 2020 Quand vide fut mon berceau Aux oublieuses étreintes, Soulagé de son fardeau Il n’entendait plus mes plaintes, Ces sanglots venus, solitaires, Aux primitives aurores Où je vous cherchais, ma mère, Comme un rêve d’où l’on s’endort. Devinant nos au revoirs, A l’écueil de votre regard, Je n’ai cessé de mourir. De nos défaites, ce linceul, Où je vais enfant si seul, Me verrez vous sourire. 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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