Partager Posté(e) 21 décembre 2019 (modifié) S’enroule le couteau et se nourrit l’orage À nouer le manteau sur la gorge du fleuve Et s’essouffle le vent au delà du rivage Pour la pierre lucide interdite de preuve Mystère des impacts de l’impossible épreuve Un cri inexcusable en renfort de la rage Lancer de confettis sur la façade neuve Viennent inaboutis à certains étiages Pourtant restent gravés l’odeur et les nuages À l’aurore endormie où se créent des visions D’une forme éclatée dans le jardin sauvage Les promesses d’argile épousent la faillite Des sentiments reclus et des peines confites Quand rien n’avance plus que le train d’illusions (Référence au dernier poème de Pierre dont les premiers vers m’ont servi de marchepied.) Modifié 21 décembre 2019 par Jeep 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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