Partager Posté(e) 4 décembre 2019 (modifié) Aux lueurs que tu portes en flambeaux sur ta peau À celles dans tes yeux qui ne se ferment jamais Aux soleils qui s'éteignent et aux lunes qui pleurent Aux astres voilés et à nos nébuleuses À la flamme que l'on hisse haut dans le ciel À la pluie de nacre qui tombe en gouttes Aux cils perlés de larmes que personne ne boit À tes lèvres closes et nos anciens soupirs Je ne te l'ai jamais dit ; je me noie chaque soir Mes doigts égrènent le temps dans la nuit infinie Je porte sur mon corps les traces mauves du vent Modifié 4 décembre 2019 par Diane corr.orth. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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