Partager Posté(e) 25 novembre 2019 Ton image si souvent peuple ma solitude et mon coeur inégal de l'aube au crépuscule Mon âme se soulève comme une vague et s'écroule ne pouvant se défaire des graviers qu'elle roule Ton image tranquille quelquefois se dérobe me laissant orageuse, l'oeil aux cieux, implorante, Je reste sans flambeau dans l'obscure demeure mes pleurs silencieux ne te parviennent pas Même la lune amie détourne le regard elle qui tant de fois a épié ma détresse Dans l'errance effrayée, c'est sans espoir de rien, que je rêve de toi, je t'offre mes lèvres d'ombre, mes désirs silencieux qui glissent un peu frileux sous le givre des mots... 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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