Partager Posté(e) 19 août 2018 Frôlement sucré-salé entre les herbes sèches Ce ruisseau de lave qui "s’étrange" Sous le silence blanc de l’été La brèche tendre Fragile comme un papier de soie Dans le mur hérissé d’épines que frôlent pourtant les abeilles Ivres de miel et de soleil La brèche ouverte sur la mer Grande comme une main Où respirer Où chanter Où espérer jusqu’à la folie L’envolée qui vient et qui lisse ses plumes Gratter avec les ongles, avec le cœur Avec la vie qui pulse et s’élance Amoureuse, sensible, Toucouleur ! 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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