Partager Posté(e) 23 octobre 2019 (modifié) Formidable exil J’ai vu dans tes yeux des astres, Errer dans des océans à la dérive, Entrelacés de courants contraires, Une certaine idée de l’éternité. Tes eaux raviveraient les âmes, Si troubles soient-elles, Toutes prendraient la mer, Inconscientes, Vers tes horizons radieux, Jusqu'au bord du monde. Aucun de ces navires, N’atteindraient tes rivages, Idolâtrés. Nouveaux astres prisonniers de tes marées, Aucune de ces âmes, Ne reviendraient jamais, De ce formidable exil. Modifié 23 octobre 2019 par Picotto 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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