Partager Posté(e) 19 octobre 2019 (modifié) « La poésie n’est pas incompréhensible, elle est inexplicable. » Octavio Paz On partira sur une route inconnue on s'est fait mordre tant de fois, oublions, ne te souviens pas il a fait chaud il a fait froid les renards seront partis sur d'autres sables jaunes ta main a essayé d'arrêter le vent au creux de la mienne, fragile cerf-volant, les hommes de guerre déploient leurs armes et leurs canons on se perdra, quelque part, entre un ruisseau et une rivière et puis il suffira d'une aube un peu plus claire pour qu'on chante au même endroit. Et puis la mer nous sourira comme la première fois. Il y aura du vent, l'odeur de l'océan, des coquillages contre toute raison et des millions de papillons. Et puis une boule à neige dans une main d'enfant sous un sapin. Une carte au trésor dans le désert du Sahara, un songe sans fin et tu me diras je t'aime comme si c'était la première fois. (J.E. ) Modifié 19 octobre 2019 par Joailes 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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