Partager Posté(e) 2 octobre 2019 Quand la mer est houleuse et que le vent forcit La pensée s’enténèbre à vouloir se défendre De croire que le temps reflète les soucis Et semble résister sans chercher à comprendre Comprendre que la mer est un monstre assoupi Qui assaille les jours à vouloir se répandre Pour s’emparer des corps ainsi que des esprits Lorsque l’âme est si nue qu’elle veut la reprendre La tempête répond à tous les désespoirs S’anime devant eux comme un triste miroir Et peux les entraîner au fond du précipice Mais le temps est changeant et bientôt l’éclaircie Transforme la détresse en un simple caprice Pour redonner le goût des choses de la vie 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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