Partager Posté(e) 6 septembre 2019 Sur le rivage incertain les galops d'enfants blonds se sont tus ils ont emporté les coquillages septembre dénoue l'écume les grands oiseaux blancs aux ailes déployées s'enivrent au vent du large où s'en vont-ils ? Sur les îles d'or aux fragiles équilibres de lieds assassinés il reste au creux de la main des débris d'étoiles de mer septembre fuit le long des échines dans les courants glacés de solitude à l'encre de Chine septembre demande son chemin celui de nulle part celui des libertés où tout peut arriver. (J.E. Septembre 2019) 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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