Partager Posté(e) 4 juillet 2019 (modifié) Una imagen de Dariusz Klimczak animada por George Redhawk On a tous une histoire avec un revenant. Quand j'écris revenant, je veux dire un fantôme, Un vrai, un qui émeut, et non pas ce symptôme D'une hallucination, quand le cerveau vous ment. Le fantôme était femme et moi j'en fus l'amant. J'ai toujours craint la mort, mais son corps comme un baume, Une ouate sublime toute imprégnée d'arômes... Je m'insinuai sans crainte et à l'abri du temps. Mon désir éperdu, arasé à l'encan Silencieux d'une nuit si légère en plein vent, Traversa l'ectoplasme fors ses seins dans mes paumes. Mais à potron-minet s'évanouit doucement Le corps de mon esprit sans que j'accepte avant De gésir au tombeau pour vivre en son royaume. Modifié 4 juillet 2019 par Marc Hiver 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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