Partager Posté(e) 5 juin 2019 Dans cette seconde qui s’éternise Passablement blessée Dans cet instant qui me chavire Soudain ravissement Il est une aile qui m’électrise Celle de l’oiseau lové Dans les branchages de notre vie Que nos mains tissent, souvent Puisqu’il m’est souvent insensé D’apaiser mes terreurs De t’offrir sereine un baiser De quitter ma torpeur Alors viens Aime-moi encore répare les miroirs brisés arrose chaque jour les fleurs Ramasse ce grand fracas silencieux et fait de tout ce désordre Un abri 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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