Partager Posté(e) 11 mai 2019 (modifié) À mains pleines lâchées innocents les voilà en volées de sel vos larmes mémoires en crue sur lesquelles flottent linceuls cruels qui ne sèchent plus sans nom cent aux vrais coupables sans tête trop improbables à débusquer au grand troupeau des hommes sans humanité le berger qui épie le sot les voit sauter tous pattes liées dans le creux de sa paume ceux qui se réservent la pomme en toge d’élus risibles résidus d’Ubu destinés comme les autres à l’urubu ô nuages crevés allons calmer votre faim de Pâques vertes sous mousson mâtons faites relâche gentils moutons gentils il vient le flot d’éternelle fin assoiffés de justice buvez-les vos larmes. Modifié 12 mai 2019 par Féludorée Correction de fautes d'orthographe Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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