Partager Posté(e) 11 avril 2019 Rien n'est jamais fini aucune moisson le viol prolongé le vol de l'hirondelle l'instant fœtal posé sur terre Les plaintes murmurent la nuit ainsi les oies sauvages se remettent en marche Ce n'est pas la guerre les eaux bleues le long se promène la peur la pâleur du sein au printemps odeurs errantes comme un soleil naissant la ville hésite à ouvrir ses fenêtres Les sanglots contre les murs le jour balance son regard loin Solitaire la mouche est morte présence animale entre les herbes sous le crâne elle est scarabée lorsque le soleil brille telle crevasse tirant sa langue sous la feuille blanche 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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