Partager Posté(e) 4 août 2018 Tu étais agrippé au tube dentifrice… Échappant à ma vue, distrait par un poèmeQui poussait en mon crâne et fronçait mon sourcil, Galopin, garnement, vilain sac à malice ; En douce profitant de mon humeur propice Pour fomenter sans bruit quelque péripétie. Mais le calme, soudain, alerta ma bohème… Redoutant, de ton art un nouveau stratagème, Inquiet en mon empire, inspectant mes recoins, Je découvris enfin ta frimousse engluée De verte chlorophylle. Crevé, dans ta menotte Le tube agonisait comme une âme sanglote Et, penaud, tu tentais de l’index, « Gros malin ! » D’y faire revenir la crème parfumée. juin 200 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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