Partager Posté(e) 13 décembre 2018 L’or des ciels de lave enivre de lumière la brume des volcans, s’allonge dans leurs veines au creux de leurs ravines Un visage apparaît un instantfait de courbes abruptes, d’arêtes vives, de tourments, de roses déchirures, d’opales fluorescences, puis se voile A couvert de bois noirs, l’esprit de l’étranger qui dérive à leur table n’apporte ni pluie ni beau temps Et se noie dans le mercure glacé des lacs 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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