Partager Posté(e) 22 novembre 2018 rien ne me rappelle de toi les nuits sont devenus des bornes kilométriques désormais je ne compte plus les jours mais les nuits: c'est mieux comme ça: quelque part on sent l'odeur de lilas. j'ai commencé à compter mentalement:à l'infini il n'y avait personne. autour de moi l'air guérit les instants le soleil casse d'un cri toutes les nuits et les oiseaux picorent la viande de désarroi. c'est bien: je suis arrivée dans ce temps en appuyant sur une touche je deviens ce que je veux et c'est ça la réalité: devenir ce que nous voulons. ici on bouge plus facile sans nos corps ça ne fais pas mal et on devient plus spacieux excessivement respirables et on remplace l'air avec les anciennes chansons irlandaises qui parlent de tristesse et d’honneur. mais n’aie pas peur: je suis là. mais parfois tu ne peux pas me voir - à cause de ma solitude. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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