Partager Posté(e) 19 septembre 2021 Je ne peux oublier la tourterelle blanche Qui chantait sur son île un chant d’amour divin Quand je la voyais nue à la fin d’un dimanche Et qu’ivre je buvais ses yeux clairs et du vin La chaleur redoublait à dessiner ses hanches Comme dans le tableau d’un peintre vénitien Et donnait le vertige en désir de revanche À l’armée des élans la blancheur de son sein Je ne peux oublier que sous d’autres tropiques Vêtue de l’innocence et de vertu pudique Une oiselle ingénue en majesté parut Et que j’avais un jour succombé à son charme Je me souviens aussi du regret et des larmes Qui m’emplirent les yeux lorsque je l’ai perdue 9 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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