Partager Posté(e) 19 septembre 2021 (modifié) Argile façonnée Froide issue fragile Docile et lointain regard Il y a d’abord Les vagues de lumière Souvent blanches et florales Souvent ramassées Par la douleur de l’urgence Et puis il y a le silence Qui fait pleurer La fatale nudité des statues Feindre frissonne l’écrin fauve Complice des phares essoufflés Par le flux et le reflux Mémoire oblique du voyageur Le sablier parfois s’endort Au clair de lune En suppliant les semailles De bien tendre l’oreille aux murmures Que les étoiles diffusent En pluie de sable. Modifié 19 septembre 2021 par Pierre 8 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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