Partager Posté(e) 31 août 2021 O combien tenir ta main j'eusse aimé Ta main si belle aux longs doigts de pianiste Ce ne fut qu'un rêve aux ailes brisées Par la nuit s'introduisant attentiste Tu jouais avec les couleurs de la nuit Sur la toile de la vie éphémère Tu désembrouillais mes jours délétères De ta seule présence dans ma vie Nul mot seul l'oubli dans cette agonie L'oubli de soi et fleurir l'indicible Jusqu'aux portes de la nuit infaillible Aimer chaque parcelle de ta vie Toute parole eut consumé mes lèvres Les pensées se rencontraient dans la fièvre Les coeurs alliés désiraient l'impossible Une nuit t'arracha la mort invisible 8 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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