Partager Posté(e) 25 août 2021 La plaine est circulaire et le ciel sans accrocs Une voix me parvient au-delà de l’espace La terre est le vertige et le calme l’écho De tout le temps perdu de tout le temps qui passe Les toits à l’horizon se veulent signifiants Un refuge connu pour la brume confuse Que le soleil d’été entretient poudroyant Et vain comme toujours dans la nue que j’accuse Je sens le battement des siècles à venir Qui sourd de ma naissance et de mes souvenirs Depuis les nuits sucrées de mes premières fièvres Mon temps est limité par le goût de la cendre Que j’avais ressenti un jour de fadeur mièvre Dans un autre pays au visage plus tendre 12 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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