Partager Posté(e) 18 août 2021 Je me reposerai sur les terres lointaines Où il fait bon mourir sous la chaleur épaisse Dans les bras décharnés d'une douce vieillesse Vers quoi tend mon esprit à l'abri de ses peines. J'embrasserai l'azur, son bleu céruléen, Quand le soleil couchant avant le crépuscule Pleure des rayons d'or au déclin majuscule Qui consume mon cœur plus tout à fait humain. D'une vaine géhenne endeuillée par l'émoi Que la farce des jours hoquète à s'étrangler, Je veux crever debout par fort vent de noroît. Bien sûr, si le hasard au travers du chemin Fît que je rencontrasse Amour au pied levé, Je ne dirai pas non pour contrer le destin ! 8 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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