Partager Posté(e) 5 juillet 2021 (modifié) Vous ne m'en voudrez pas si je vous dis qu'enfin La vérité me vint toute nue et joyeuse Enivrant mon âme si souvent paresseuse À embrasser du vide en un cerveau biffin. Copulant à loisir, de bien maigres pensées N'engendraient que frimas et leurs dépôts de givre Sur les lèvres d'amour quand j'étais par trop ivre De mon impéritie aux choses du sacré. Mais une parousie me dévoile sans fard L'avènement du vrai par l'esprit tutélaire Dont j'hérite en ce jour pour un nouveau départ. Je jouis de comprendre avec le corps des mots Combien je baisouillais en me donnant des airs Lors qu'aujourd'hui je sais badiner non troppo. Modifié 5 juillet 2021 par Marc Hiver 7 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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