Partager Posté(e) 6 juin 2021 (modifié) Je suis le narrateur de ma propre existence Et je vous prie de croire en ma sincérité Tant il est vrai qu'un homme appelle destinée Ce petit bout d'amour qui lui sert de pitance. Quant à toi, le lecteur qui pleure en me lisant, Ton âme dévastée dans un corps de misère, Tu te vautres le cœur à relire mes vers Dont le lyrisme vaut ce que valent mes ans. Alors moi le coquin et toi si foutriquet, Nous nous refuserons à toute nostalgie, Fausse paix de l'esprit qui nous vient par paquets, Car je préférerai toujours le gentil cul De cette mie, au gué ! qui sans mélancolie M'accueillit en son for pour moult instants à cru. Modifié 6 juin 2021 par Marc Hiver 4 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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