Partager Posté(e) 25 mai 2021 Lésions de la mémoire, absences dérisoires, J’abjure vos erreurs dispersées dans mes nuits, Pierres et couteaux froids dans les frileux miroirs Où perle aux lignes d’aube une larme de suie. Dans la houle du temps, le corps en désespoir Rêve de cerisiers et du vol des courlis. Au vent chair à mourir, il est trop tôt ce soir, Je veux sourire au miel des heures abolies. La cloche maritime et l’écume des vagues S’agitent en secret sous les ponts qui divaguent, L’écho d’une défaite aux rires menaçants. Le sol est saturé d’absorber la tristesse. Il n’est plus qu’un cœur seul pour dispenser le sang Et flétrir la noirceur pour trouver la liesse. 8 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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