Partager Posté(e) 2 avril 2021 (modifié) S’effacent dans la nuit des feux phosphorescents Puis naît l’aube indécise aux fluides laitages Avant le jour en fleurs du mois d’avril naissant Et la vie prudemment parvient à son étiage Le vent blanchit la mer de remous incessants Gîtards et maraudeurs quelques bateaux volages En descendant l’estuaire aidés par le jusant Paraissent mépriser les lieux de l’atterrage L’ombre qui dissimule une herbe insubstantielle Sur la falaise grise aux rechignés chardons Recouvre des oiseaux repentis de leurs ailes Des freux calamiteux dans le matin coraillent Quand tout se veut en ordre au delà des batailles Un chien un rien un rêve implorent leur pardon Modifié 2 avril 2021 par Jeep 11 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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