Partager Posté(e) 26 novembre 2020 J’implore l’espace Et les tenailles de la tristesse Qui ne retiennent pas les larmes Je vous parle de symphonie Là où les sens sont en émoi De l’autre côté de la pénombre Dormir bien sûr Dormir dans la sécheresse de la providence Se laisser entraîner mortels barbares Tyrans fourbus sans riposte L’adversaire n’est que désespoir Dans les yeux défaillants Sur les flancs De l’oiseau blessé Les prières glissent sur la lumière Mais le vide n’a pas d’écho Pour ceux qui n’ont pas d’épices Dans le creux des mains. 10 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
Il n’y a aucun commentaire à afficher.