Partager Posté(e) 25 novembre 2020 Sentier perdu sous la grisaille Ruiné dans l’ultime bataille Vestige ô combien calciné D’une saison abandonnée Pauvres ramures endeuillées Où quelques feuilles esseulées Connaîtront bientôt l’hallali Dans le morne jour qui pâlit Comme j’aime ce doux frisson Apaisant comme une chanson A la vue des buissons qui meurent Dans une ineffable torpeur Ô combien d’éternels regrets Peupleront mon jardin secret Lorsque ces airs de fin d’automne S’éteindront dans la brume atone 8 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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