Administrateur Partager Posté(e) 2 octobre 2020 Dans les échappées des trouées nocturnes, Des mondes à l’abandon se dessinent. Sous nos pieds, le marbre des heures fauves. Les racines du lendemain y creusent les failles. Dans les intervalles usés de nos ébats, Faire rendre gorge au séisme du désir. Les caresses se heurtent aux lignes brisées Géométrie incertaine d’un amour défait. Au fond des ravines de nos derniers baisers, Il reste juste quelques haillons de blancheur, Dernières vibrations de souvenirs fanés Dans le cellier des cœurs solitaires. 11 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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