Partager Posté(e) 20 juillet 2018 Deux flûtes, dans le grave, implorent la musique, Source et, pareillement, séculaire rumeur ; Fragment d'un manuscrit préservé dans le cœur D’un garçon catalan à la voix aigre-douce. Telle, entre deux moellons, une herbe folle pousse, Cette humble fleur de chair croît sous l'arche de pierre Pour conquérir l’espace, un peu comme le lierre S'élabore au printemps d'une liane mystique. Et le chant diaphonique, exhalé du silence, Vibre du chœur humain, pétri d’éternité, Vestige renaissant en ces doubles prémices. Alors, enluminure épousant ces esquisses, S’éveille en Montserrat, phénix ressuscité, L’antique Imperayritz en l'éclat de l'enfance. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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