Partager Posté(e) 18 mars Les pierres lasses et coupantes balisent le chemin pour arriver à toi il en faut remonter des pentes chagrinées de thym et pleurer quelquefois ni homme ni femme, qu'importe au bout du bout où le ciel est immense s'ouvrent en silence les portes des tabous et des ambivalences sur les murets les lézards font étape aux fontaines claires aux soleils monarques et l'âme soûle de ses excessives agapes s'évade aux rivières où coulent des barques ô toi divin coucher de soleil où venait poindre la nuit dans les oranges amères tu fus l'éclat de mon sommeil qui t'a ainsi détruit et réduit en poussière ? Les pierres lasses et coupantes balisent le chemin pour arriver à toi il en faut remonter des pentes chagrinées de thym et pleurer quelquefois … (souvent … ) à qui dire désormais le vent la larme à l’œil la nuit qui tombe l'ambivalence du printemps l'odeur du chèvrefeuille et ces ombres sur vos tombes .. ? à la pierre lasse et coupante aux chemins d'éboulis à l'épine en transe toujours remonter la pente oublier jusqu'à l'oubli et les ambivalences (toujours ...) (joailes – 18 mars 2023) 11 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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