Natacha n’attacha pas le chat, Pacha, qui s’échappa par là, cela fâcha Macha qui chassa fissa Natacha, et pas qu’un chouïa, houp là, on dansait la samba et la salsa quand on sut ça, je ne vous dis pas quoi, quoique je l’aie dit là, suivez un peu morbleu, la musique des cieux réjouit les vieux, me suive qui peut, mais à ce petit jeu par trop neuneu, on fait long feu et Dieu ! camaïeu paraît la vie, camaïeu c’est joli, mais si, mais si on s’initie à une philosophie qui réjouit, on se rit vite des sirènes qui nous emmènent tout de même, pas vrai Germaine, à Carême sans crème ni chrême, qui aime ? je dis sirène m’était contée, oui les sirènes démones, et non les klaxons qui s’époumonent, ça vous chiffonne, vous ramone dès que Ramon et Simonne répondent au téléphone à leur petit diable, peu affable, au vrai très irritable, surtout à table s’il manque la salière, la poivrière, on risque la poudrière, par contre hier, c’était pépère, n’est-ce pas René, je te saurais gré, répond l’effronté, de ne pas mettre ton nez dans mes affaires, et de cesser-là ta logorrhée, ce qui fut fait, d’un fatal point final, point poing notez bien, bien senti, cependant, jusque dans les dents  – ouf, on souffle !

 

 

 

Modifié 27 novembre 202427 nov. par Thy Jeanin

Collier de perles en accéléré, sans perdre le souffle ! 😉

 

Pas de ci, pas de ça, sans ceci ou sans cela... une logorrhée qui me rapelle un groupe Toulousain "Fabulous Troubadors"... que nous écoutions en 90 debouts sur les tables de facs... 

Merci @Thy Jeanin

La logorrhée, l’ancêtre du rap.

Un excellent exercice de diction qu'on peut à loisir décliner, en se gargarisant sur la fin avec une infusion de clous de girofle.