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  • Généralités

     

    Introduction

    Le rythme d’un texte, que ce soit un poème ou une prose, est déterminé par l’usage des accents dans le corps des mots et par la ponctuation. L’usage de phrases courtes ou longues ajoute à ce sentiment, lié à la vitesse de lecture. En poésie classique, des règles sévères régissent cette notion de rythme.
    Elles concernent l’intérieur même d’un vers, et également la structure d’une strophe. 

    C’est l’étude du vers qui va motiver cette partie. 

     

     

    Généralités


    Cela a déjà été dit, et certains l’ont remarqué et compris : le vers est écrit pour l’oreille. Ce qu’il faut savoir, c’est que nous ne pouvons entendre en une seule fois l’équivalent de sept syllabes ; pour apprécier et donner toute la compréhension d’un texte, il faut alors que celui-ci soit scindé à la huitième syllabe au minimum. Cette façon de porter l’arrêt, ou l’accent, lors de la lecture, c’est ce qui est appelé " césure ". Lorsqu’elle se produit au milieu d’un vers, c’est le terme " hémistiche " qui est employé, et qui ne vaut pas uniquement pour l’alexandrin ; 

    En poésie, pour qu’il y ait rythme, il faut qu’il y ait parité. Un poème composé d’un seul vers serait plus une maxime qu’un poème. 

    En classique pur, le maximum des vers n’a jamais dépassé douze syllabes, soit l’alexandrin.

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