Partager Posté(e) 1 août 2020 Comme si le temps voulait ne jamais rien figer, Par le souffle du vent qui vient les caresser Les rondes et blondes dunes étonnamment sculptées, Des courbes de la femme esquissent la beauté. Sur l'horizon lointain,finement ébauchés, De délicats méandres préludent à la beauté Des monts djebel Amour, mystiques et sacrés. Ici le temps se meurt devant l'éternité. 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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