Partager Posté(e) 1 août 2020 Emouvante de beauté la danse de son corps dans la robe d'un soir d'été Ainsi paraît sous le vent avant la nuit des songes cet ailleurs aux couleurs étranges où l'or coule des larmes apaisantes Ces mouvements qu'elle prononce poésie brûlante d'un désir inassouvi quand toute la mémoire du monde s'efface dans le miroir de l'oubli De la braise du jour s'élève dans le ciel la fumée des herbes nues Sans la douleur du silence que des mains innocentes ont solitairement rompue 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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