Partager Posté(e) 30 juillet 2020 (modifié) Dans une autre séquence abordant un rivage Où comme on s’en souvient les hommes étaient nus Et tenaient un totem en forme de statue Il parla à celui qui semblait le plus sage Il lisait dans leurs yeux la colère et la rage Décuplées par leurs fronts et leurs sourcils têtus Leurs lèvres murmuraient en termes inconnus Une menace inscrite aux traits de leurs visages Les paroles de paix accompagnées de gestes Ne changeaient pas vraiment leurs intentions funestes Ni l’attitude hostile à l’étranger honni Alors il présenta à leurs yeux ébahis Un instrument brillant dont naquit sa musique Et devint dans l’instant pour eux le Dieu unique Modifié 30 juillet 2020 par Jeep 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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