Partager Posté(e) 28 juillet 2020 (modifié) En arpentant la lande aux confins de la terre Non loin de la falaise et des grands cormorans Au milieu des ajoncs et des rudes bruyères Il redoutait la nuit peuplée des korrigans Il craignait la venue auprès du cimetière Des âmes trépassées de tous les revenants Qui retournent sans vie en ce monde éphémère Qui donne l’illusion et la foi aux vivants Il parvint à l’église et le vent se leva Fit sonner le bourdon qui indique les glas Le ciel était obscur et cachait les étoiles Et il sut à l’instant quand l’Ankou apparut Par sa faux inversée aperçue sous un voile Que l’heure de sa fin était déjà venue Modifié 30 juillet 2020 par Jeep 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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