Partager Posté(e) 28 juillet 2020 Absinthe Tout raisonne, ô mon absinthe, Et dans l’océan des cœurs engloutis J’entends des fièvres anciennes. Tout crie si fort, mon absinthe, Les pleurs de mes douleurs, de mes plaintes, Où s’efface le jour de ma destinée, Et je vais en un couloir morne Où des horizons, dans leur tremblante Lumière, sur mes paupières se perdent. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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