Partager Posté(e) 10 juillet 2020 Lorsque passent les mots je pense vous parler Dans le brouillard confus de mon pauvre encéphale Dont l’aire de Broca se trouve annihilée Et j’attrape au hasard le moindre son bancal Dans l’espoir qu’il vous dise en langage codé Combien vous me manquez et combien j’ai du mal À lire votre horreur de l’incapacité Que j’ai de dépasser mon état cérébral Haricot arrosoir la bouillie le cafard Le café la banane au bistrot le plumard Rive bateau galets sirop corne de brume Le lexique est trop court pour traduire mon cœur Si vous prenez ma main voyez comme s’allume Dans mon regard éteint un éclat de bonheur 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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