Partager Posté(e) 7 juillet 2020 Allons traverser le gué entre ciel et herbe grise respirer ce silence que seul un vieillard peut sentir Déjà le feu ranime la rumeur des cendres qui s'ennuient dans l'odeur un peu rance d'une chambre assombrie Alors que grince une porte menant au chemin qui s'enfuit un autre été peut-être entre le chant et nos mots rafraîchis Cet autre regard d'une lumière encore invisible quand le hasard remue les couleurs d'un obscur souvenir Comme une ombre dans le noir l'illusion d'une eau qui coule loin,si loin de la ruine finale dans la poussière de l'oubli 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites Plus d'options de partage...
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